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La journée du Samedi ne démarre pas fort. Avant de partir, je dois aller faire une course. Valérian en profite pour aller retirer de l’argent et faire le plein sa voiture. Et les ennuis commencent. Au moment de retirer, sa carte est avalée par l’automate. Pas d’argent et pas de quoi faire le plein… Heureusement que j’ai la mienne! On a prit un peu de retard. On fait le plein du monstre et on prend la route. On arrive aux abords du circuit vers 9h mais il y a déjà énormément de monde. Ça bouchonne sur une bonne longueur. L’accès au circuit est possible par deux routes et parfois, il y a moins de monde de l’autre coté. On prend le pari de faire le tour du circuit, passer par la zone industrielle pour arriver par l’autre coté. Pari raté. En plus d’avoir perdu plus de 15 minutes à faire le tour, il y a autant, voir plus de monde. Je vérifie le planning des passages et remarque que les XX tournent de 9h45 à 10h25. Je vais les rater…
A 9h45 on est toujours dans les bouchons. J’entends alors des bruits stridents s’élancer sur la piste. C’est les F1! Sur mon planning, il est marqué qu’il est susceptible de changer et en effet, sur celui que j’ai pris sur papier dans l’espace média, les horaires ne sont pas les mêmes! Ouf! Les XX sont prévues à 11h30. J’ai encore un peu de marge.
On arrive enfin à franchir les barrières et rejoindre le parking. Il est 10h15 et on a mis plus d’une heure pour entrer!
Sur le parking, les allemandes sont à l’honneur. Ici, la Mercedes E500 (celle des allemands dans le film Taxi), dans laquelle nous sommes arrivés. Une sacrée bête avec son V8 de 350 chevaux. On se gare entre deux Porsche. J’en suis pas fan des Porsche, mais je dois avouer que cette GT3 en déco martini est plutôt pas mal!
Repassons vite du coté de l’Italie avec le parking Ferrari un peu plus fournis qu’hier. Plus fournis, ok, mais c’est toujours pas la grande foule comme je m’y attendais.
On y trouve quand même quelques beaux spécimens comme cette 458 Spider giallo tristrato, la même couleur que la F12 de la veille.
Ou encore cette magnifique F430 Spider Bianco Fudji intérieur Cartier.
Sans oublier une nouvelle F12, blanche cette fois. Une couleur qui lui va également à ravir.
On entre sur le padock. Et ça devient inquiétant car il n’y a toujours pas grand chose. On passe donc directement aux stands.
Le samedi est ouvert au public et il y a également beaucoup plus de photographes et médias que la veille. Certains même ne doivent pas être majeurs et se contentent de petits appareils photos voir téléphones ou go-pro. Au début j’ai trouvé un peu ridicule que les accréditations soient distribuées comme ça mais avec du recul, finalement, j’en fais aussi parti! Je ne suis pas professionnel et j’ai eu la chance d’avoir l’accréditation, alors, pourquoi pas eux? Vivre l’événement de l’intérieur est une chance extraordinaire! Et Ferrari à tout intérêt à ce qu’il y ait des accrédités. C’est d’autant plus de monde qui leur fait de la pub gratuitement.
Sur les FXX-K, des leds vertes clignotent sur le toit et dans l’habitacle. Je n’en connais pas la signification exacte mais, peut-être est-ce le même principe qu’en Formule 1? Du fait qu’il y ait un système de Kers, si les leds clignotent en vert c’est qu’on peut toucher la carrosserie en toute sécurité? Simple hypothèse. (Edit: on m’a émit l’idée que ce ne serait qu’un témoin de charge de la batterie. C’est sûrement tout simplement ça.)
Cette journée du samedi sera principalement consacrée à la piste et c’est l’heure d’y aller!
Voici un aperçu du tracé:
Comme je le disais, il y a beaucoup plus de media qu’hier! Et ça se voit. On en croise tout au long du bord de piste. Je me rends à la chicane au milieu de la longue ligne droite où j’y croise Nicolas. C’est un gros freinage et la lumière y est pas trop mal à cette heure ci. Le soleil proche du zénith permet de bien dessiner les ombre sur les voitures et met en valeur les formes si particulières.
La FXX-K 69 est au ralenti.
Le rythme est plus soutenu pour les autres. Je commence par le point de freinage pour encore une fois profiter des disques qui rougissent.
Mais je passe assez vite dans la chicane pour avoir quelques vues d’arrière et de face.
Freinages manqués pour ces FXX et 599XX. Le circuit Paul Ricard est heureusement un circuit qui pardonne beaucoup d’erreurs, du fait de sa configuration sans bac à sable et de larges dégagements avec des bandes de ralentissement.
Je ne suis pas vraiment à l’aise en contre jour mais il permet de donner de très belles nuances aux peintures métallisées.
Une série avec quelques vues de face et malgré le peu de voitures en piste, on peu quand même réussir à en mettre plusieurs sur une seule photo:
Certains se tirent la bourre comme cette FXX-K à la poursuite de la 599XX.
Au tour suivant, la FXX-K est devant.
Mais au tour d’après, la 599XX n’a pas lâché l’affaire pour autant et est toujours à l’attaque.
Au tour de la FXX-K 27 de faire une erreur de freinage:
Retour avant la chicane au point de freinage.
Midi approche et avec, le dernier tour de navette. Il y a tellement de photographes en bord de piste qu’avec Valérian, on préfère être sûr d’avoir la navette en partant un peu plus tôt.
A peine parti et la 599XX 21 nous offre un très joli tête à queue. J’ai eu le réflexe de la prendre, mais, dans la navette qui bouge, pas facile…
Dans la navette, on rencontre Jacky, qu’on n’avait pas encore vu aujourd’hui, Aureil et Philippe qui sont arrivés ce matin. Très bon timing, on peut alors aller manger tous ensemble!
Mais avant, une excellente surprise m’attend sur le padock (malgré tout toujours aussi vide). Une Ferrari Enzo Jaune.
Grand fan de la enzo depuis sa présentation, elle est toujours dans mon top 3 de mes Ferrari préférées. Et depuis sa sortie en 2002, je n’ai croisé que des exemplaires rouges et un gris alors que les couleurs qui pour moi lui vont le mieux sont le jaune et le bleu tdf.
Je suis donc comblé pour ce weekend, entre celle-ci et LaFerrari bleue. Mais il y a trop de monde autour pour pouvoir en profiter. J’y reviendrai donc après le repas.
Dans le motorhome corse clienti, il y a du monde. Un peu de file d’attente avant d’atteindre le buffet, mais, Philippe et Jacky n’ayant pas fait de photos de la Enzo, ils sont entrés avant nous et nous on gardé une table.
La vue est on ne peut mieux pendant ce repas, même si il y a du monde autour.
Au menu:
D’excellents cannellonis avec quelques crudités et une vraie mozzarella. Moi qui pensais qu’il fallait que j’aille en Italie pour un jour en gouter une bonne, c’est finalement l’Italie qui me l’a amené! De la délicieuse glace en dessert et j’ai repris assez de forces pour tenir l’après midi!
Pendant le repas, la Enzo disparait. On ne l’a ni vue, ni entendue partir…
On refait un tour du parking Ferrari, voir si du monde est arrivé depuis.
C’est parti pour un festival de photos floues! 🙁 Là, mon appareil à vraiment totalement merdé et j’ai toute une série de photos ratés alors je ne vous en mets que quelques-une, à regarder en petite taille.
Coup de cœur pour cette Testarossa bleue. Très rare dans cette couleur.
La enzo est arrivée là. Et je n’ai pas une seule belle photo d’elle les portes ouvertes…
La bonne nouvelle, c’est qu’elle va prendre la piste! Je m’en vais donc à l’entrée des stands pour la voir rouler sans tout ce monde.
C’est d’abord une 488GTB qui passe.
Puis voilà la Enzo.
Pendant ce temps, il y a une drôle d’agitation sur la piste.
Les commissaires de piste et le personnel nécessaire à la sécurité se préparent pour faire une parade. C’est, je trouve, totalement mérité car n’oublions pas que sans eux, aucun événement sur circuit ne serait possible.
Une fois la parade terminée, chacun retrouve son poste et c’est reparti pour une session Passione Ferrari. Celle dans laquelle tournent les 488GTB pour les essais client. Mais il y a également d’autres Ferrari cette fois-ci. Chaque propriétaire de Ferrari a la possibilité (moyennant inscription et finance) de tourner sur la piste à ce moment là. On y trouve la Enzo, mais aussi plusieurs 458 spider, Speciale, F12, F430 ou encore FF et California. Cette fois, pour continuer de découvrir le tracé, on va en bord de piste en partant du coté gauche de l’entrée aux stands. Coté intérieur du circuit par contre, il n’y a pas de navette. Pour le moment, on commence par le dernier virage, puis on remonte rapidement vers le N°8, le virage du Village.
Inévitablement, celle sur laquelle je me suis le plus attardé, c’est la Enzo.
Sans pour autant oublier les autres.
J’avance un peu pour faire quelques vues de face des voitures qui sortent du virage 7 Bendor.
Ensuite, le rail de sécurité nous contraint à aller directement à la fin de la ligne droite, avant le virage des Signes. Toute la ligne droite est en zone rouge. Les zones rouges sont des zones d’interdiction. On à le droit d’y passer, mais pas de s’arrêter et encore moins d’y faire des photos. On marche donc jusqu’à la chicane du milieu de la ligne droite.
Freinage raté pour la F12 qui passe de justesse entre des cônes avant de s’arrêter juste devant moi.
Je suis très content car la Enzo aura tourné pendant toute la session, sans interruption. J’ai donc pu faire de nombreuses photos d’elle en piste, même si elles ne sont pas toutes bonnes, ça m’aura fait plaisir de l’avoir vu tourner et au moins, il n’y avait personne autour. Contrairement à lorsqu’elle était sur le padock.
On est donc rendu à la sortie de la chicane où visiblement, il se passe souvent des choses. En plus, c’est le premier coin du circuit qu’on trouve et qui est à l’ombre des arbres. Paramètre non négligeable car il fait encore plus de 30 degrés. On s’installe donc ici pour un petit moment.
Je discute avec les commissaires de piste en attendant la prochaine session. Ils m’invitent à ne pas hésiter à les solliciter si je veux franchir la grille d’accès pour qu’ils me l’ouvrent, plutôt que de refaire le tour comme on l’a fait. Les grilles sont fermées à clé car les gens du public n’hésitent pas à faire comme chez eux et essayer de l’ouvrir. Ça, c’est un sujet sur lequel je m’attarderai un peu plus dans le dernier article, celui du Dimanche. Ceux qui me connaissent se doutent bien que je vais finir par avoir un coup de gueule à un moment où à un autre, je vous le réserve pour la fin.
Retour sur la piste et c’est au tour de la première course de 458 Challenge du weekend.
Pour avoir vu des vidéos de ces manches de championnat sur internet, ça devrait être mouvementé!
Le départ se fait lancé. Il y a donc un premier tour derrière le Pace-car. Je n’ai pas de photo du premier tour avec toutes les voitures regroupées car pour le coup, j’ai préféré filmer. Je ferai peut-être une mise à jour de l’article avec la vidéo mais pour le moment, j’estime qu’elle n’en vaut pas la peine. Il ne s’est rien passé d’extraordinaire et la qualité n’est pas terrible.
L’écart se creuse rapidement entre les voitures et un groupe de 4 s’échappe déjà du reste du peloton.
La voiture jaune fluo et noire est celle de tête, suivi de très près par la blanche qui attaque sans arrêt.
Sans pour le moment réussir à trouver une ouverture.
Cette déco de requin est assez bestiale sur la piste et ça doit faire drôle de la voir dans son rétroviseur. Mais pour cette manche, celle-ci n’inquiète pas grand monde. Elle se trouve loin du peloton de tête.
Les 4 premiers toujours assez serré.
Un autre groupe de 4 assez loin derrière les premiers.
Quelques filés dans le virage:
Et le tour suivant, la Blanche qui attaquait sans cesse la jaune et noire est devant.
Et creuse déjà l’écart.
Ces courses de « Gentlemen drivers » ne sont pas réservées qu’aux hommes. Cette voiture est conduite par une femme.
Je monte un peu sur la bute qui est derrière moi pour prendre de la hauteur.
On sent que la fin approche. Certains pilotes donnent tout ce qu’ils ont, au risque de faire des erreurs.
Pendant le dernier tour, le premier pilote se paye le luxe de prendre un tour à l’un des concurrents.
Les drapeaux sont agités par les commissaires. C’est la fin de la course.
Il y a eu moins de spectacle que ce à quoi je m’attendais et le fait de n’être qu’à un seul endroit sur la piste rend difficile de suivre la course. C’est seulement lorsque je regarde mes photos que je me rend compte des changements dans le classement et je n’ai vu aucun dépassement. La course devait être plus intéressante à d’autres points de vue.
On reste à cet emplacement pour le moment. Les F1 arrivent et les commissaires m’ont dit qu’à plusieurs reprises hier et ce matin, certaines ont fait des tête-à-queues ici.
Les voici en piste.
Je varie les points de vue et ma position dans la chicane pour arrêter de faire 150 fois les mêmes photos et trouver quelque chose d’original.
J’essaye de trouver des idées et faire des photos que d’autres ne feront pas forcément comme jouer avec les commissaires.
Freinage un peu trop appuyé pour la 412 T2!
Après quand même quelques heures à cet endroit, j’en ai fait le tour et j’ai envie de bouger. Retour dans les stands pour voir ce qu’il s’y passe et ça tombe bien, c’est la mise en grille de la deuxième catégorie de 458 Challenge. Celles du Ferrari Challenge Trofeo Pirelli que je n’ai pas encore eu l’occasion de voir. La grille est d’ailleurs accessible aux photographes! Très bien!
Mais encore une fois, je n’ai que peu de photos présentables…
La grille est évacuée, le départ est donné mais je reste dans les stands pour le moment. J’ai fais assez de piste pour l’instant. Malheureusement, impossible de rester proche du muret des stands, on me demande de l’éloigner. Je m’en vais donc dans les stands où des mécaniciens s’attardent sur une FXX-K.
Je n’avais pas pensé à faire de photo de la structure qui accueille le restaurant et c’est en voyant la LaFerrari et la F12 bien garées devant qu’il me vient l’idée d’en faire une. C’est en écrivant ces articles que je me rends compte que je n’ai pas fait de photo de l’environnement pour agrémenter un peu mes textes et expliquer le contexte. Pas de vue de l’entrée, ni des bâtiments pour vous présenter correctement tout ça à part la salle média. J’y penserai pour les prochains.
On en profite pour aller s’y rafraichir, se désaltérer et manger un pti quelque chose pour reprendre des forces.
Sur le parking, la Testarossa est seule, et j’en refais quelques photos. Une n’est pas trop floue! Je suis content!
Retour aux stands. Finalement, je tourne en rond et je ne sais pas trop quoi faire. Heureusement, ça bouge du coté des XX.
Peter MANN est une personne bien connue dans le milieu Ferrari. Ancien président du Club Ferrari France et très passionné par la marque. Il est souvent présent lors des rassemblements. Une particularité de sa collection de Ferrari est qu’elles sont majoritairement Bleue Tdf. Comme sa LaFerrari et sa Fxx-K ici présentes. Il a la réputation de beaucoup aimer jouer avec les photographes et j’en ai eu la preuve ce weekend. Alors que j’étais seul sur la voie des stands à faire des photos des boxs, il me visait du doigt. Il m’a fallut quelques longues secondes avant de le remarquer et il n’a pas bougé, attendant que je lui fasse signe que c’est bon, je l’ai vu et il est dans la boite! Merci!
René ARNOUX est également présent. Autre grand passionné que j’ai souvent l’occasion de croiser au Sport et Collection.
Même si un impressionnant staff Ferrari est là pour s’occuper des voitures, certains gardent quand même le plaisir de les bichonner eux-même.
La manche du 458 Challenge s’est terminée. C’est l’heure pour les XX de rejoindre à nouveau la piste. Les pilotes se préparent et se concentrent.
René ARNOUX prend le volant de la FXX-K 69.
Les voitures sortent des boxs. Je m’attendais à un bel alignement comme ils le font régulièrement sur d’autres événements, mais non. Seules les FXX-K ont le nez dehors, et seulement le nez. Les autres restent à l’ombre. Dommage.
Les voitures prennent la piste chacune leur tour.
L’une des FXX ne sort pas. Je quitte les stands pour retourner vers la chicane sur laquelle j’ai déjà passé une bonne partie de la journée. Sur place, je trouvai que c’était un bon endroit. Avec du recul, c’est une erreur de ne pas avoir essayé d’aller ailleurs et changer un peu de point de vue. Il y a tellement d’endroits possibles sur cette piste! Mais les XX étant sur la piste je n’avais pas voulu perdre trop de temps car le point de départ de la navette est assez loin à pied et celle-ci ne passe que toutes les 15, voir 20 minutes. C’était donc un coup à perdre plus de 30 minutes d’essayer d’aller à l’extérieur de la piste après les avoir vu partir des stands. La session n’en dure que 45.
Me voici donc au même virage que ce matin, mais de l’autre coté. L’avantage, c’est que c’est un endroit où il se passe quand même deux trois trucs et c’est le cas dès que j’arrive. La FXX-K 13 manque son freinage.
L’endroit est idéal pour faire des vues de l’arrière.
La poupe de la FXX-K est vraiment impressionnante lorsque l’aileron est relevé.
Quelques vues des freinages:
Virage manqué pour cette 599XX.
Les tours s’enchainent, les déclenchements de l’appareil photo aussi et comme je suis à pied coté intérieur, je suis contraint de rester à cet endroit de la piste. Les photos sont donc toujours un peu les mêmes. C’est le constat que j’ai en les triant. Une bonne surprise quand même en y regardant de plus prêt. Bien que ne l’ayant pas vue en vrai, cette FXX m’a offert une petite flamme. La luminosité ambiante étant très forte, elle est vraiment discrète.
Quelques filés pris dans la grande courbe:
Je tente quelques photos en contre jour lorsqu’elles arrivent dans la chicane.
Pas facile…
La fin de la session arrive et cette FXX manque elle aussi le freinage. Décidément…
La fin de session marque la fin de journée sur la piste. Pour nous aussi d’ailleurs. La chaleur est épuisante et heureusement qu’on dispose de la salle média climatisée pour se reposer et de l’hospitalité Corse Clienti pour se restaurer!
Peter Mann, pilote de la Fxx-k 27 bleue s’en va également au volant de sa belle LaFerrari bleue.
Deux autres Ferrari quittent le circuit au même moment.
La F12 Jaune et la 458 Speciale A Rouge. Etienne a remarqué que le drapeau Russe était brodé sur les sièges de la 458. Il se trouve que la couleur de celle-ci est la même que celle des Fxx-k 21 et 599XX 21 qui sont … Russes! C’est donc possiblement le propriétaire de ces XX. C’est en voyant le pilote de la Fxx-k rouge et jaune 13 dans la F12 jaune à carbone rouge que je réalise qu’ils ont tous des voitures de série et XX à configuration similaire. C’est sympa de voir que ces 3 pilotes ont choisi des configurations différentes du traditionnel rouge et qu’ils s’y tiennent au fils des années et des différents modèles.
Quant à nous, on repart toujours en allemande, désormais bien seule sur le parking:
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